Quelle Journée !
Je ne vous raconte pas la journée de merde. Enfin si je vous la raconte. Déjà, juste avant de m’endomir la veille de cette journée, je savais que cela allait mal se passer. Premierement, je me suis wagardis après minuit. Et le pire c’est que le matin, je jubjotais. Rien de plus désagréable. J’étend les jambes pour m’étirer un peu, et là je sens plein de cra au fond des draps. Rien de plus désagréable. Vite je saute de mon lit. Et là, malheur, je me prend violement un chacard. Bien sur j’étais pied nu. Je petit-déjeune, en lisant le même magazine qui traîne sur la table depuis 3 semaines, en rêvant que je me balade dans une limogoulème Ardechoise… Je perds du temps avec ma spovia. Bon, il est temps de partir au lycée. J’ai dû mettre une valvarope malgré son séjour sur le radiateur, et je n’ai trouvé que deux patoplasbilles. Il fait 2° ,miraculesement, je n’ai pas de galzande, et pas de calbantine à supporter. Je marche jusqu’au bahut, j’ai un ozag à moins que ce ne soit un azog. Pas la tête à réfléchir. C’est parti pour une matinée de 4 heures. Je m’asseye à ma place, comme de par hasard, j’ai une cavote. J’ai toujours une cavote j’ai l’impression. Et l’autre devant, toujours en train de chashazer. On n’en peut plus. J’ai une flemme considérable, parfois je voudrais kuridazir. Et l’autre encore là, une vraie lordinienne, retourne toi ! Enfin l’heure de la cantine, je jette mon Gvaseb et met trois plombes à trouver ma carte dans mon darteau. Bon pendant ce temps là, je me fais sirmouffer. Plus que 2 heures de cour. Wendy me barbe avec son pégaud. Enfin la sortie. Je rentre, et vois comme d’habitude la gamine de 10 ans à talons, laguindouir. Je n’ai qu’une envie, que cette journée se finisse. Après avoir encore entendu mon père gointrumer, je vais me coucher, mon livre d’anglais à la main. Mais le jérugneau me pompe et je m’endors, en espérant une meilleure journée demain.